Les sorcières du leurre
Mordent la terre en cendres
Creuser ses veines à l’appel
Peindre nos corps jusqu’à l’émotion
Escalader le tien
Creuser tes cernes
Inventer un toi(t) magicien
Biter que dal’ à mes poèmes
Recommencer les « quand bien mêmes »
Déposer ses masques
Se toucher à la création
Jusqu’à s’en bruler les reins
Faire du feu avec des presque rien
Se rouler dans les voiles des souvenirs d’enfants
Perdre le contrôle, mourrir, naître
Et tisser nos amours avec lune hiver
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